Second volet du dyptique, portrait de la danseuse Cecilia Bengolea lors d'une performance sur théâtralité, animalité et étrangeté du corps. Ces deux portraits tentent de définir les multiples possibilités d'un corps queer qui ne se limiteraient pas au genre mais s'étendraient à l'espèce aux moyens d'artifices tels que costume, maquillage, gestuelle...