Quand Besnik remarque une fissure dans le plâtre du mur de la mosquée et se met à gratter, il se rend compte qu'il y a quelque chose en dessous. Presque immédiatement, deux dames d'un institut de restauration des monuments viennent inspecter la fissure. Le mullah proteste en disant qu'elles n'ont pas le droit d'entrer parce que leurs têtes ne sont pas couvertes, mais Vilma et sa collègue ont l'approbation du gouvernement. Elles découvrent que l'édifice était jusqu'en 1470 une église catholique, et qu'après que le bâtiment ait été transformé en mosquée, le grand vizir avait autorisé les catholiques à l'utiliser une fois par semaine. De sa manière simple et directe, Besnik suggère qu'on devrait remettre cette pratique en vigueur…